Si je devais définir un FPT type voire idéal, je pense que celui d’hier soir serait en bonne place. J’ai particulièrement apprécié l’ambiance détendue et potache qui a régnée hier à la table. Ajouté à ça un niveau de poker relativement bon, sauf quelques coups un peu surprenants n’est ce pas Laurent ?
On retiendra de cette soirée un florilège de nouvelles expressions à intégrer à votre langage poker si vous souhaitez être IN autour des tables.
Une Kerviel : Partie pendant laquelle vous montez un très gros stack avant de tout perdre en quelques minutes.
Une Tapis : Partie pendant laquelle vous passez alternativement de Chip Leader à Short stack sans sortir de la partie.
Un Slow Call : ne payer que la Small blind pre-flop.
Le slow play selon Alexis : Checker le flop, Checker le turn, et dès que quelqu’un mise, envoyer la boite pour plus de 10 fois le pot !!!
Nouvelle appellation pour les cartes :
Q : Ceci est une princesse
J : Ceci est un D’jeuns ou un Beau Gosse
K : Ceci est un Daron
Autre grande découverte de la soirée, la théorie des bougies... Car pour ceux qui l’ignoreraient, il y a bien une théorie des bougies. Je tente ici un résumé, et je laisserai Docteur Patate compléter. Donc si une femme a chez elle, une collection de bougies qui rendent son intérieur « chaleureux » et qu’elle est « sur le marché », alors elle a plus de 30 ans et est en chasse du futur père de ses enfants.
A part ça, Denis marque son retour en frappant fort et remporte cet FPT.
Alexis et Pierre-jean sont ITM. Comme quoi, le jeu serré ça marche.
Ci-dessous, le classement de cette partie. Le classement annuel du FPT 2010 est à jour <ICI>. Je pointe toujours en tête avec une (très) confortable avance sur mes poursuivants. Qu’ils ne se découragent pas, je ne suis pas infaillible, j’en veux pour preuve une décevante 6ème place hier soir. Je sors sur un coup face à Denis qui sera certainement le support d’un prochain « bien joué ou pas ».
RDV le Jeudi 28 octobre pour le FPT#27. Denis, Judicael, Pierre-Jean et moi sommes inscrits pour le moment et Laurent C, Jean-Luc, Laurent L, Stephane, Nicolas et Raphaelle s’interrogent...